PIERRE DE MAERE + DAJAK

15 février 2024 • OM

  • Portes • 19:00
  • 21:00 • PIERRE DE MAERE
  • 20:00 • DAJAK

PIERRE DE MAERE

Pierre de Maere, la nouvelle révélation venue de Belgique, poursuit son ascension. Les hostilités sont lancées en 2022 avec la sortie de son premier EP “Regrets”. Porté par une couverture médiatique et populaire fulgurante, le succès de son single d’or « Un jour je marierai un ange », des scènes remarquées en France et en Belgique, Pierre de Maere ne cesse de nous surprendre et de relever les défis. Un an seulement après un premier concert parisien complet à la Cigale en mai 2022, un second au Trianon en novembre 2022, l’artiste s’offre à présent la salle mythique l’Olympia pour un concert exceptionnel le 12 mai 2023. L’occasion de découvrir son premier album « Regarde-moi » qui paraîtra le 27 janvier.

Il construit déjà sa vie comme une œuvre, artiste sublimé par l’art, profondément libre,  irradié par l’instinct, insolemment lucide malgré une vingtaine à peine sonnante. A  califourchon entre la musique, la mode, la photo. Le style Pierre de Maere (prononcer  mare) est à l’image des audaces vestimentaires du jeune belge : flamboyant, irisé, mutant.  Il cultive son jardin et dessine son monde intérieur, ose sans filet les télescopages  stylistiques tout en prenant soin de ne jamais s’éloigner du champ des possibles offert par  la culture pop. Une gueule à l’innocente beauté, androgyne et perçante.

Grand, silhouette  longiligne, coupe au bol, gestuelle expressive. Dandy moderne, esthète à l’extravagance  chic, incarnation du « twink » camouflé derrière des parures luxueuses. Déjà on devine  une identité qui peut sans cesse se modeler et se renouveler au gré des désirs. Pierre de  Maere a passé la première moitié de son existence à Bruxelles, avant que ses parents ne  décident de déménager dans une ferme à Walhain, petite commune du centre de la  Belgique. De l’ennui, beaucoup, le forçant à stimuler sa créativité. Des oreilles ivres de  morceaux mainstream, des premières compositions à l’âge de douze ans. Ni cours de  chant ni solfège, seulement quelques cours de batterie. Autodidacte, il absorbe  connaissances et informations avec une rapidité anormale, saute d’une passion à l’autre  dans un élan d’engagement total. L’adolescence est marquée par une frénésie  photographique en lien avec la mode. Il passe aussi rapidement par les Beaux-Arts à  Anvers, enseignement qu’il juge trop conceptuel. Lui est convaincu que son destin doit se  conjuguer avec envergure et audace. Lorsqu’il replace il y a un et demi la musique au  centre de ses intérêts, cet éduqué enfant du désordre ne fait pourtant pas de plans sur la  comète. Pierre de Maere appartient à cette génération qui ne s’encombre pas des  références ou des classifications. C’est un garçon qui lit l’intégrale de Picsou au coin du  feu, Pink Floyd en fond sonore. Fasciné aussi par Willy Wonka de Charlie et la  Chocolaterie et Lady Gaga. Comprendre par là qu’il aime les personnalités singulières. Il  compose au piano et à l’ordinateur comme on imagine un cocktail en tentant des  combinaisons, précisant les dosages, affinant les associations. L’écriture sème, elle, des  balises, joue sur les multiples lectures, défie les codes. Charme fou et mouvant des  morceaux, un peu comme si Stromae faisait des câlins à Yelle, Rufus Wainwright et à la pop des eighties.

DAJAK

Un majestueux voyage poétique, c’est ce que promet Dajak avec ses ballades hypnotisantes.
L’auteur, compositeur et interprète développe un spleen parisien et tente de s’évader loin de sa
réalité, guitare à la main…
Inspirations Rap, Indie ou encore Prog Rock, Dajak impose sa propre musique à la frontière des
genres, unique et sans compromis.